» Numéro de septembre 2016
« (…) Un citoyen engagé, concerné par la fragilité, la souffrance, le désarroi des individus confrontés à  la maladie grave, la fin de vie, la mort de leurs proches.
Un citoyen capable de montrer qu’il peut faire face à l’indicible de ces souffrances sans se dérober, montrant ainsi à cet autre meurtri, sa considération malgré son état amoindri.Â
N’est-ce pas, là , une manière de restituer, au sein de la détresse, dans une humanité partagée, la vraie dignité à chacune de ces personnes si altérées par la maladie, la fin de vie, la mort ? Bénévoles, oeuvrons dans la présence discrète et sortons de l’ombre pour témoigner.
Notre présence discrète pour assumer notre action de bénévole d’accompagnement. Nos témoignages de cet engagement pour permettre de fertiliser l’avenir des soins palliatifs (…) »